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Tracklist

biographie

“Bien loin des banquiers véreux de New-York, c’est à Angoulême qu’en 2012, dans un petit garage de l’avenue Lehmann, que se sont retrouvés cinq lycéens en option musique, frères de groove partageant la même passion pour les rythmes-afro-américains.


Influencés par des funkers tels que Prince, Ghost-Note ou D’Angelo, les petits frenchies entendent revisiter à leur tour le fameux jazz-funk des seventies, tout en y instillant des échos hip-hop, house et neo-soul.


Mais ici pas de reprises puisque ces jeunes musiciens forts de quatre EP ne présentent que des compositions signées par les membres du groupe : le guitariste Alvin Amaïzo, le batteur Dorris Biayenda, le claviériste et chanteur à la voix adéquate Julien Anglade, dans une alchimie rythmique incandescente qui n’a rien à envier à leurs prestigieuses références.


Avec son triangle rythmique infernal qu’appuient des cuivres enflammés, on ne résiste pas longtemps à leur répertoire qui donne des fourmis dans les jambes. Les premiers concerts mettent tout le monde d’accord : impossible de rester assis sur son siège ! Leur groove fusionne des accords de jazz avec des éléments de hip-hop, de neo-soul et de house. Les Lehmanns Brothers relèvent le défi du mélange entre une interprétation contemporaine du jazz, de funk et d’afrobeat. Derrière ce son unique, fait de rythmes explosifs et de voix incroyables, on retrouve les influences de James Brown, Jamiroquai, The Roots ou encore A Tribe Called Quest.


Ce n’est donc pas par hasard que ces Lehmanns Brothers dont la maturité force le respect ont déjà impressionné l’auditoire en assurant les premières parties de Macéo Parker, Fred Wesley, Electro Deluxe ou du Wu-Tang Clan, avant d’être sélectionnés parmi quelque 700 formations pour se produire au Montreux Jazz Festival, puis aux festivals Blues-sur-Seine et Jazzahead.


Avec plus de cinquante concerts par an à leur actif, sillonnant l’Europe sans jamais laisser le public de marbre, les Lehmanns Brothers sortent en 2021 avec l’EP The Youngling, Vol. 1, dont l’excellent single Inked voyage Outre-Atlantique. Une audience sans frontières commence alors à s’installer. Sort ensuite le single Rain issue de l’EP The Youngling, Vol. 2 qui voit le jour en 2022. Petit clin d’œil aux Snarky Puppy, avec cette production dotée d’une vidéo live session studio qui marque les esprits.


En ne cessant jamais de présenter l’énergie des Lehmanns Brothers aux quatre coins du monde, les protagonistes se lancent chacun dans d’autres énergies artistiques : alors que Julien Anglade fonde son projet solo G.L.A.D, officie au sein du collectif urbain Beyadi et œuvre aux côtés du crew soul SHÆLIN, Dorris Biayenda rejoint le groupe de Krautrock Meule qui se fait remarquer en un temps record par le public, Alvin Amaïzo, quant à lui, développe une carrière éponyme dont les premières notes ont déjà fait parler d’elles.


En 2023, alors que les concerts continuent à battre leur plein, les trois fondateurs ont à cœur de se retrouver autour de compositions d’une autre teinte, signant une nouvelle ère dans la dynamique du groupe.


L’album Playground remet les pendules à l’heure tout en prenant des libertés innovantes : il rappelle que les Lehmanns Brothers ont beau être des bêtes de scène, ils signent là un album signature, où la funk est résolument onirique et urbaine, aussi planante que percutante. Une réalisation "fait-maison" qui sort sur le label 10H10.” - Anaïs Rambaud


Présentation


“Dix ans ont passé. Dix ans de créations, d’amitiés, de changements artistiques ou non, de concerts surtout. Les Lehmanns Brothers, nés comme une confrérie du groove new age à l’heure du lycée, ont cultivé durant ces dix années une énergie singulière jugée comme impérissable. Après tous ces kilomètres, au sens propre comme au figuré, il a fallu faire les comptes : « on en est où de nous ? »


Une question qui a résonné fort chez les trois membres fondateurs : Alvin Amaïzo, Julien Anglade et Dorris Biayenda. Des Lehmanns Brothers, quel en est l’essence, quel en est le noyau ? De l’eau a coulé sous les ponts mais ce qui les unit semble alors intact. Comme un crash test, en janvier 2023, les artistes se sont retrouvés en campagne tourangelle pour laisser opérer la magie. Du lycée aux routes de tournée sans transition, il fallait revenir à l’essentiel : la joie d’être ensemble, juste simplement. Retrouver cette joie même qui était là bien avant que la musique s’ajoute dans l’équation de leur parfaite compatibilité. Il n’a pas fallu 24 heures pour que la connexion s’établisse à nouveau. À six mains, les compositions s’écrivent naturellement. Dix ans plus tard, avec dix ans d’expériences respectives et dix ans de connaissance des uns des autres, le dosage est fin et techniquement brillant.


Et si les Lehmanns Brothers était bien plus qu’une expérience de live hypnotique et exultante ? Et si les Lehmanns Brothers pouvaient aussi ouvrir un nouveau chapitre artistique et s’écouter autrement, le casque vissé sur les oreilles, en fond sonore d’un repas en famille ou bien tournoyant sur les platines d’un DJ ?


Par retour à l’essentiel, Alvin Amaïzo, Julien Anglade et Dorris Biayenda ont souhaité adapter leurs process : la stratégie a laissé la place à la spontanéité, le studio d’enregistrement a été troqué par des prises à la maison, la phase d’écriture condensée s’est soldée par plusieurs mois de travail à peaufiner ce qui se préparait à devenir un disque d’un nouveau genre. Avec un besoin de modernité affirmé, l’équilibre s’est alors inversé. Plutôt que de composer autour des trois instruments des débuts (clavier, basse, batterie), les productions sont résolument digitales et font la part belle à la guitare comme élément central des propositions sonores. Les rythmes sont épurés, même d’une simplicité déconcertante. Le rendu est juste, l’écoute est intense. Pour la première fois dans l’histoire des Lehmanns Brothers, les morceaux sont écrits sans détours, sans les transposer pour le live bien avant la première lecture. Autonomes, autosuffisantes, autoproduites, les nouvelles composantes de cet album n’ont pas la vocation sinéquanone d’être adaptées pour d’autres instruments. La production est ce qu’elle est, c’est son authenticité qui fait sa force.


L’album s’appelle Playground. Playground, c’est un retour aux sources, une sensation d’être à la maison, un besoin profond de se reconnecter à l’exploration des sons, des mots, des rythmes et des notes. Playground, c’est une musique sans compromis et le fruit d’une franche camaraderie.


L’Intro dresse le décor de Playground. On expérimente, on produit, on s’amuse surtout. Sans tarder, Brighter Days, si elle évoque les disparités entre les cultures, raccroche avec l’énergie des Lehmanns. Le morceau laisse la place à l’urbanisant Trinity, rappelant leurs ambitions d’amitié et de loyauté exprimées dans cet album.


La pop d’Open Your Heart est une ode à la vie, au lâcher prise. Ils préparent à la balade Follow into the Wild et à l’étonnante Double Spiral, à la fois planante et progressive, avant de laisser la place à la pause : pour l’interlude Playing, les Lehmanns Brothers se font plaisir et laissent aller à une coupure jazz. On rebranche les micros pour Old Souls, évoquant l’amour véritable, un thème qui se retrouve un morceau plus loin, sur Millenium, après l’explosif Lookalike. It’s Only Fair marque la fin du chapitre, sans oublier l’Outro comme générique de fin de cette cour de récréation.


Dans Playground, il n’est plus question d’imaginer la maturité, la sagesse n’est plus une illusion. Les textes en témoignent : équilibre de vie, santé mentale, partages sans retenue, bonheur simple sont décriés. Dans une démarche ego-trip non consciente, les trois artistes font le bilan et se livrent. Portés communément par un univers hip-hop qui se joue (Yussef Dayes, BadBadNotGood, The Roots) et qui se chante (Makala, Smino, J. Cole), les Lehmanns Brothers font s’entrechoquer en douceur les univers en plaquant le rap sur leurs productions teintées de house, de soul et d’une funk délicate. Playground, c’est une déambulation entre toutes les esthétiques qui ont façonné les Lehmanns Brothers au fil des années. Rien n’est interdit. Et c’est sans doute ce qu’il faut retenir de cet opus.” - Anaïs Rambaud


Line up


Julien Anglade : chant, claviers

Alvin Amaïzo : chant, claviers, guitare basse

Dorris Biayenda : batterie, percussions


Invités :

Clément Jourdan : basse (01, 02, 05, 07, 08, 10, 12)

Jordan Soivin : trombone (03)


Accéder à la fiche du single "Open Your Heart" (Sortie le 15/12/2023) sur le site de 10H10

Accéder à la fiche de l'album "Playground" (Sortie le 02/02/2024) sur le site de 10H10


Attachés de presse


France

Sophie Louvet-Menu

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Q-rious Music - Marcel Westphal
mw@qrious.de
+49 (221) 500 859 0


Concert de sortie


28/03/2024 - New Morning, Paris (75)

Enregistré par Pierre Dine
Mixé par Vincent Barcelo (Alhambra Studios)
Masterisé par Alexis Bardinet (Globe Audio Mastering)
Peintures & 3D par Julien Philips
Conception graphique par Aurélien Kerleroux (YAOF Design)
Édité par Cristal Publishing

Contacts

  • Label - promo

    Samira Ben-Embarek - Label 10H10 samira.ben@cristalgroupe.com 0546448384
  • distributeur

    Luc Genetay - L'Autre Distribution lucgenetay.autredistribution@gmail.com 0247507979
  • Tourneur

    Ananda Garcia - Caramba Culture Live ananda@caramba.fr 0142181717

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